Les images de la honte suprême pour l'élite congolaise
Au moment où le pays s'apprête à vivre ses premières élections démocratiques en 45 ans d’indépendance. Il y a des réalités qui se rappellent au bon souvenir des actuels dirigeants et qu’ils ne peuvent plus feindre d’ignorer. L’une de plus graves faillites de notre société est sans nul doute l’enseignement. De Mobutu en passant par les deux Kabila, le système d’enseignement congolais a connu depuis bien longtemps sa déchéance au point que dans notre pays, le système des valeurs est complètement inversé. Le bon modèle de société du citoyen instruit est depuis longtemps détrôné par le culte du moindre effort et la culture de la jouissance. Rien d’étonnant à cela quand on sait par exemple que les purs produits de la bourgeoisie Mobutiste que sont JP Bemba et Olivier Kamitatu n’ont jamais fait leurs études au Congo-Zaïre. Que dire alors de H.Kanambé Alias Kabila lui qui n’a jamais été plus loin que l’école fondamentale et qui ne doit son ascension politique qu’à des tours de passe-passe ! Les images ci-bas vous présentent l’actuel état de
Délabrement dans lequel se trouve la plus grande Université du Congo :UNIKIN.
Voyez par vous-même, ceci est très édifiant et pose la question de savoir ce que l’actuel pouvoir maffieux de Kinshasa peut –il apporter de plus au peuple congolais.
Une vue d'un batiment à l'UNIKIN
Voici ce qui sert de latrines aux étudiants internes.
Ceci est -il encore acceptable en 2006 ?
Où sont passées les millions aloués au CPP UNIKIN ?
Quel ministre congolais prendrait sa douche à pareil endroit ?
Où vont les millions des dollars de la communauté internationale ?
Une vue des installations electriques à l'UNIKIN.
La crasse, rien que la crasse à l'image de toute la ville de Kinshasa
A la vue de tout ceci, nul n'est besoin de faire de longs commentaires car ces images illustrent bien la triste réalité que vit actuellement nos compatriotes de l'UNIKIN et cette situation ne se limite pas uniquement qu'à l'Université de Kinshasa elle est commune à tous les ministères de Kinshasa, la Banque Centrale, les écoles publiques, etc.. Alors quel bilan la racaille politicienne de Kinshasa va t-elle présenter au peuple pour solliciter un nouveau mandat ? Que pourra-t-elle lui offrira de plus demain et qui n’est pas possible maintenant ? Face à toutes ces questions, le peuple doit opérer des choix qui lui permettront de rompre définitivement avec les travers du passé.